My Father
...is Jess Franco.
I have a very special relationship with the old man, and lately I have been neglecting him. And like in any good family, this temporary broken link does not affect all the love I have for him. We may be separated by the Atlantic Ocean and years of misunderstanding, by my anti-smoking militantism and his chain smoking bad habits, and by him jumping the bones of someone else than my mother - who is certainly not Lina Romay - but we share something, we share blood, we share a certain taste - hunger, even - for life.
This blog is intended to explore the fascination that this man, and his movies, is exercing on me. It will adopt many different angles, many tones, and reveal many facets of my reflections. But the subject will be consistent : Jesus Franco Manera.
Man with many faces, director, actor, script writer, music lover, supreme appreciator of life at large, with a fine taste in food & women, Jess could have lead many lives.
He is the personification of what everybody aspires to be : a guy who does ONLY what he wants to do. His twisted lens record life's movements, shakin' hips and pubic hair. His achievement is impressive : more than 150 feature films, and still counting. Of course, not all of them are masterpieces, but what's surprising is that most of them ALMOST are.
There is always a moment of sheer genius in a Franco film, and it is my understanding that we will, from now on, explore this together, hand in hand.
Like father & son.
I have a very special relationship with the old man, and lately I have been neglecting him. And like in any good family, this temporary broken link does not affect all the love I have for him. We may be separated by the Atlantic Ocean and years of misunderstanding, by my anti-smoking militantism and his chain smoking bad habits, and by him jumping the bones of someone else than my mother - who is certainly not Lina Romay - but we share something, we share blood, we share a certain taste - hunger, even - for life.
This blog is intended to explore the fascination that this man, and his movies, is exercing on me. It will adopt many different angles, many tones, and reveal many facets of my reflections. But the subject will be consistent : Jesus Franco Manera.
Man with many faces, director, actor, script writer, music lover, supreme appreciator of life at large, with a fine taste in food & women, Jess could have lead many lives.
He is the personification of what everybody aspires to be : a guy who does ONLY what he wants to do. His twisted lens record life's movements, shakin' hips and pubic hair. His achievement is impressive : more than 150 feature films, and still counting. Of course, not all of them are masterpieces, but what's surprising is that most of them ALMOST are.
There is always a moment of sheer genius in a Franco film, and it is my understanding that we will, from now on, explore this together, hand in hand.
Like father & son.
8 Comments:
Now, when is that Vampyros Lesbos review comin' up ?! It's taking longer than my 'long' post ! hehe
Un fils ingrat et illégitime, qui délaisse son père après une seule intervention !
Un croisement entre Murray Head et Patrick Juvet, le sous-Bowie français qui chantait UNISEXE en 1973 !
Un imitateur pâle de Paul Lapidus, lui-même pâle imitateur de Paul Müller. Que devient l'institut Jess Franco ? Perdu dans les brumes de Manacoa et de l'ÎLE DE MADEIRE.
Après NIGHT OF THE SKULL, mon Franco du mois de mai : KISS ME KILLER.
Je sais que je suis une loque.
J'ai un texte sur Vampyros Lesbos qui traîne depuis un certain temps et qui attend impatiemment que je le finisse... Ça sera fait prochainement, n'ayez crainte.
Je parlerai sans doute ensuite de DEVIL'S ISLAND LOVERS qui promet d'être délicieux !
Donc, tu n'as pas encore DEVIL'S ISLAND. J'ai fait une comparaison avec la VF "QUARTIER DE FEMMES"... C'est assez frappant. Le film espagnol est politique , sombre et sobre. La VF est un film de prisons de femmes qui contient des scènes assez idiotes que Franco n'a pas tournées, et qui coupe les 15 premières minutes du film de Franco. Après avoir vu la v.o., compare (au fast forward) avec la VF. Tu m'en donneras des nouvelles.
Et n'oublie pas de regarder LES CAUCHEMARS NAISSENT LA NUIT. Le bonheur t'attend.
LES CAUCHEMARS, quel visionnement ! Je compte bien le revoir bientôt, il était si jouissif.
Hey ho, ça vient cette critique ?!
Te l'dis, un vrai fils illégitime !
À titre informatif, le Franco de juin fut LES NUITS BRÛLANTES DE LINDA, une (hélas) abomination rendue encore plus malheureuse par :
1) Une copie rougeâtre à la limite du visible
2) Des inserts incongrus rajoutés post-tournage par on ne sait trop qui ?
3) Un scénario qui se ramollit au fil des minutes, au point de se dissoudre dans une interminable bouillie à la fin.
KISS ME KILLER (mai) était un agréable petit polar.
AU programme en juillet : MACISTE ET LES GLOUTONNES.
MACISTE ET LES GLOUTONNES...
Quelle tristesse !!
Environ 30/40 minutes d'un vrai film de Jess Franco (sérieux et ésotérique) entrelacées d'une dizaine de minutes de comédie idiote (avec Biggotini et une cruche magique qui parle) + des inserts "érotiques" d'une nullité profonde.
J'ai vu bien des films de JF sabotés par des rajouts et des coupures (la vieille version d'une VIERGE CHEZ LES MORTS-VIVANTS, le MIROIR OBSCÈNE, LA COMTESSE PERVERSE, etc.), mais je pense que celui-là bat tous les records de mauvaise foi de la part du producteur qui a exigé ces remaniements. C'en est à chiâler, surtout quand on pense que la comédie gênante de Franco MACISTE CONTRE LA REINE DES AMAZONES est, elle, sortie « telle quelle » sans aucune modification ou ajout. Je précise ça parce que ces deux films furent tournés en même temps, mais que leur niveau qualitatif n'avait rien de similaire :
LA REINE DES AMAZONES est une comédie bouffonne et embarrassante parce que le père Franco s'y montre particulièrement pataud et peu subtil.
LES GLOUTONNES, au contraire, avait tout du Franco méticuleusement cadré et bizarre, doté d'une bande son attrayante et de décors naturels impressionnants.
Quand les inserts embarquent, croyez-moi qu'on s'en rend compte : la bande son change, le tout est tourné dans une chambre d'hôtel, et on ne parlera pas de l'esthétique (?) qui préside à l'ensemble.
Au programme en août : TENDER AND PERVERSE EMANUELLE.
T'as écouté ton film d'Août déjà.
Alors incris-toi et parles-en plus ouvertement ! Allez, t'es capable !
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